3 juin 2008
2
03
/06
/juin
/2008
12:07
Une poésie libre du troubadour, je vous invite à visiter son blog
Il était une fois un troubadour
Qui, en chantant, contait son amour
Pour une fille de fée,
Un enfant de l'été
Aux yeux couleurs rosée
Qui, en chantant, contait son amour
Pour un beau troubadour,
Un enfant de l'été ,
Aux cheveux couleurs blés.
Pour un beau troubadour
Elle avait refusé maintes prétendants
Aux cheveux couleurs blés
Car il serait le seul à être son amant.
Elle avait refusé maintes prétendants,
Il en était heureux
Car il serait le seul à être son amant,
Ils s'aimaient tout les deux.
Il en était heureux,
Elle en était heureuse,
Ils s'aimaient tout les deux,
Elle serait à jamais amoureuse.
Elle en était heureuse,
Elle ne savait pas,
Elle serait à jamais amoureuse,
Elle ne savait pas qu'approchait son trépas.
Elle ne savait pas
Combien l'homme est inconstant,
Elle ne savait pas qu'approchait son trépas
A cause de son amant.
Combien l'homme est inconstant,
Elle l'appris hélas
A cause de son amant
Quand d'elle il devint las.
Elle l'appris hélas,
Elle pleura, perdu de vue le jour
Quand d'elle il devint las
Elle se tua, chantant son amour :
Il était une fois un troubadour
Il était une fois un troubadour
Qui, en chantant, contait son amour
Pour une fille de fée,
Un enfant de l'été
Aux yeux couleurs rosée
Qui, en chantant, contait son amour
Pour un beau troubadour,
Un enfant de l'été ,
Aux cheveux couleurs blés.
Pour un beau troubadour
Elle avait refusé maintes prétendants
Aux cheveux couleurs blés
Car il serait le seul à être son amant.
Elle avait refusé maintes prétendants,
Il en était heureux
Car il serait le seul à être son amant,
Ils s'aimaient tout les deux.
Il en était heureux,
Elle en était heureuse,
Ils s'aimaient tout les deux,
Elle serait à jamais amoureuse.
Elle en était heureuse,
Elle ne savait pas,
Elle serait à jamais amoureuse,
Elle ne savait pas qu'approchait son trépas.
Elle ne savait pas
Combien l'homme est inconstant,
Elle ne savait pas qu'approchait son trépas
A cause de son amant.
Combien l'homme est inconstant,
Elle l'appris hélas
A cause de son amant
Quand d'elle il devint las.
Elle l'appris hélas,
Elle pleura, perdu de vue le jour
Quand d'elle il devint las
Elle se tua, chantant son amour :
Il était une fois un troubadour