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  • : Stellamaris. Poèmes et photographie
  • : Poésie classique et photographie, mis en résonance l'un avec l'autre - Edition
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  • Stellamaris
  • Poète et photographe, explorant tout particulièrement les résonances entre l'image et l'écrit
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27 février 2010 6 27 /02 /février /2010 22:23
Demain la tempête / /Demain, paraît-il, soufflera la tempête ; / Mon âme, déjà, se prépare à la fête ! / Le vent qui se lève, à l’envi hurlera / Avec lui, mon cœur tôt caracolera ! / / Le pétrel m’invite, et j’entre dans sa danse ; / Que la vie afflue avec grande abondance ! / Avec lui, mon cœur tôt caracolera ! / / L’océan frémit, la vague haut s’élève ; / Lassitude fuit, libre je me relève ! / / Avec lui, mon cœur tôt caracolera ! / / Stellamaris
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commentaires

A
<br /> J'ai toujours eu peur des tempètes bretonnes et cette fois encore elles ont prouvé que même si elles ont de la grandeur, et une certaine Beauté, elles sont souvent meurtrières.<br /> Bises<br /> Arthi<br /> <br /> <br />
Répondre
S
<br /> Comme la montagne, comme l'océan, comme le désert ... La nature est magnifique mais elle exige du respect et de l'humilité, c'est quand on en manque qu'elle se venge ! Ceci étant dit, si ailleurs<br /> en France elle a fait des dégâts, par ici, ce n'a été qu'un petit coup de vent tout ce qu'il y a de plus banal, et qui plus est qui a soufflé pendant la nuit, personne n'a rien vu ... Bises !<br /> <br /> <br />
M
<br /> Merci pour ces sensations merveilleuses: vent et embruns qui donnent le goût de vivre.<br /> Bises.<br /> <br /> <br />
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S
<br /> Merci à toi, Marlou ! Bises.<br /> <br /> <br />
D
<br /> J'adore quand la mer démontée part à l'assaut de la plage déserte, quand les immenses vagues écumeuses viennent s'écraser dans le port contre les enrochements qui en protègent l'entrée, elles<br /> s'écrasent dans des gerbes immenses et on sent les embruns portés par le vent aux alentours. C'est un spectacle magnifique et un peu sauvage dont on ne se lasse pas. Dans le port les chalutiers<br /> restent à l'abri des éléments déchainés, les pêcheurs fatalistes et raisonnables patientent et attendent que la mer en colère se calme car affronter son courroux est bien trop dangereux. Bises.<br /> Danielle<br /> <br /> <br />
Répondre
S
<br /> Oui, c'est un spectacle fantastique ... Merci Danielle ! Bises.<br /> <br /> <br />
V
<br /> Bravo ! "Le vent se lève, il faut tenter de vivre... " disait Paul Valéry (je crois) ; mais avec toi, c'est plus qu'une tentative ! J'aime cette galopade du vent sur la lande qui rappelle "les Djinns" de Hugo.<br /> <br /> <br />
Répondre
S
<br /> Ouh là ! Tu en vois des choses, dans ces quelques vers sans prétention ! Merci Valentine ! Bises.<br /> <br /> <br />